Et Pendant ce temps là …

Pendant que des revenants (dans les faits un seul pour le moment) briguent le siège de la princesse Anne de Lutèce, pendant que le Coronamachintruc fait flipper tout le monde activant diverses théories du complot tout aussi flippantes, pendant que Super Doudou se pose la question de savoir si il va mettre du sable ou non, mais tout ca au nom de la démocratie, pendant que la neige risque de s’inviter en plaine ces prochaines heures et pendant que le premier TGV (celui des eighties) sera accessible quelques heures à Paris et à Lyon ce week-end…

 

 

Et bien pendant ce temps là, oui pendant ce temps là, tu t’en doutes à quelques jours de la Bourse de Valence, c’est un peu l’effervescence au Workshop. On ne va pas aller jusqu’à dire que je suis débordé mais une fois de plus je crois que j’ai placé la barre un peu haut et que j’ai eu les yeux plus gros que le ventre … Life is life…

Bref, mais avant de te parler Valence et Workshop, je voulais profiter de cette chronique pour partager avec toi un évènement qui est sans doute passé bien en dessous de ton radar et je ne peux t’en vouloir, abrutis que nos sommes sous un flot continuel d’informations via les social media… Alors tu ne vas pas me croire, mais Mathieu Pianetti sort son premier livre, que dis je son premier roman et crois moi c’est un évènement  … Mathieu qui ??? Oh que non, je n’ai pas choisi ce nom au hasard dans l’annuaire, oh que non ce patronyme n’est pas sorti d’une fable ou tout simplement de mon imagination débordante, Mathieu existe bel et bien. Point encore introniser ponte de l’Academie Francaise (pas avec une seul bouquin au compteur),  tous les matins je me délecte pourtant avec joie de sa prose lors de mon café XXL. La street life, le cambouis et les « bises ma caille », c’est tout les matins aux environs de 7h en cliquant ici …  A force d’écriture et à force de répétition est sorti un bouquin répondant au doux nom de « Les colibris des arbres à cames « …  C’est sur si t’es pas « street life », si t’as pas les deux pieds dans la merde, ce bouquin n’est pas pour toi, en revanche si tous les matins ces textes t’arrachent un sourire,  aussi petit soit il, file commander cet ouvrage chez ton libraire en ligne. Mathieu toutes mes félicitations …

Mais revenons à nos moutons … L’effervescence, la peur de ne pas en avoir assez fait … C’est ce qui anime en ce moment toutes les heures que je passe à l’atelier, soit beaucoup trop, ou pas assez suivant sur quelle berge du fleuve tu te tiens. Les quelques photos qui agrémentent cette chronique sont un peu le reflet de ce que tu pourras découvrir sur le stand que je partage avec Seb de la sellerie Nasht ( oui encore …), de l’aluminium, de la couleur et encore de la couleur … oh oui beaucoup de couleurs, histoire que l’espace d’un instant nous faisions abstraction de la morosité ambiante. Une pléiade de matériaux nobles par nature ou adoubés par mes soins, propulsés pièces uniques simplement par la volonté de refuser de faire deux fois la même chose. C’est l’esprit du workshop et ce depuis plus de dix ans … Comme je veux garder un peu la surprise de certaines pièces, tu devras te satisfaire des ces images aux cadrages soignés mais mauvais et à la qualité de pixel fort douteuse.

Maintenant, comme tu l’auras certainement compris, ne pouvant être au four et au moulin, j’ai profité de cette chronique pour une fois ( ca faisait bien longtemps) mettre le boulot des copains en avant. La « street life » qui s’affiche au grand jour, ca fait plaisir… Car bien que l’on dise le contraire, quand tu n’es pas le copain de machin ou le fils de bidule, ou quand tes amis ne font pas parti du bon cercle , il te faut malheureusement travailler deux fois plus  (quand je dis deux fois … ) et essuyer d’autant plus de refus, même si ton travail est mieux glandé que celui des pistonnés. Ceux la même qui s’enorgueillissent de dizaines de milliers de followers sur les social media et qui manifestement raffolent d’aller-retour dans la boite à Suchard sur fond de fainéantise avérée doublée d’une faculté d’analyse complètement has been. Bref passons …

Te faire une chronique pour te présenter le boulot des copains et t’annoncer qu’il y aura plein de couleurs le weekend prochain stand 26N, tout en me redonnant envie de me remettre à la lecture … Ca c’est fait … Comme dirait Mathieu … Bises ma caille, on se capte Mercredi prochain, 12h !!

 

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